La plateforme DAZN et beIN Sports diffuseront la Ligue 1 pour les deux prochaines saisons, avec près de 500 millions d’euros annuels. L’accord, prévu pour 2024-2029, comprend une clause de sortie en 2026 pour DAZN et la Ligue. DAZN diffusera huit matchs sur neuf, tandis que beIN Sports aura l’affiche de chaque journée. Jean-Pierre Caillot, président du club de Reims, a souligné l’urgence de trouver une solution pour l’exposition et la trésorerie des clubs, soulignant l’importance de cet accord.

Les présidents des clubs de Ligue 1 ont écarté l’idée de lancer une chaîne 100% L1, préférant des médias traditionnels pour garantir une manne financière immédiate. DAZN, souvent appelé le « Netflix du sport », a augmenté sa proposition initiale, offrant 350 millions d’euros dès la saison prochaine. Les clubs, encore marqués par l’échec de Mediapro, ont été rassurés par les garanties financières de DAZN, validées par la Ligue.

Malgré des attentes initiales plus élevées, avec des objectifs d’un milliard d’euros annuels, l’accord DAZN/beIN Sports permettra à la Ligue 1 de sécuriser un total de 700 millions d’euros annuels, y compris les droits internationaux et de la Ligue 2. Cet accord évite un blackout lors de la reprise du championnat le 16 août, bien que des économies soient nécessaires dans les frais de fonctionnement de la Ligue.

Depuis le 24 juin, le prolongement de la ligne 14 du métro parisien jusqu’à l’aéroport de Paris-Orly est en service, permettant de relier l’aéroport au centre de Paris en seulement 25 minutes. Cette extension promet rapidité, prévisibilité et sérénité pour les voyageurs aériens.

Pour célébrer cette avancée, Serge le Lapin, mascotte emblématique de la RATP depuis 47 ans, fait sa première apparition à l’aéroport Paris-Orly. Conçue par Artefact 3000, la campagne de Paris Aéroport montre Serge le Lapin sur un tapis roulant vers Orly 3, admirant les avions et prêt à embarquer, symbolisant la révolution apportée par la ligne 14 pour les passagers et les salariés. 

La campagne sera visible sur des grandes bâches événementielles à Paris-Orly, des écrans animés, les réseaux sociaux, la presse et des affichages tactiques dans Paris. Conçue avec Adrien Genevard, illustrateur ayant redesigné Serge cette année, elle prendra également vie en vidéo, mettant en avant l’intégration innovante de cette mascotte iconique dans un nouvel univers de voyage.

La Vie, la start-up de viande végétale réputée pour ses campagnes publicitaires audacieuses et originales, se lance dans la scène politique avec un message percutant avant le premier tour des élections législatives de dimanche dernier. Connue pour son style activiste et décalé, La Vie a décidé de vandaliser ses propres affiches publicitaires pour encourager les Français à voter.

Deux jours avant le premier tour, La Vie a modifié ses slogans emblématiques pour inclure un message politique clair : « Ni Abstention, Ni Vaisselle, Ni Cochon ». Cette initiative vise à rappeler l’importance de chaque vote, surtout dans un contexte où l’abstention est élevée et la montée de l’extrême droite représente un phénomène inédit en France. En dégradant ses propres affiches, la start-up veut inciter les jeunes à voter et à souligner que la participation citoyenne prime sur tous les autres messages en cette période cruciale.

Cette démarche audacieuse a déjà été saluée par de nombreux citoyens et observateurs, qui reconnaissent le courage et la créativité de La Vie. En utilisant ses moyens de communication  pour aborder des enjeux sociétaux cruciaux, La Vie démontre qu’une entreprise peut jouer un rôle actif dans la promotion de la participation citoyenne et la lutte contre l’abstention.

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 La Vie Affiches Vote

Michael Illouz, une figure influente du monde publicitaire et fondateur de l’agence Conceptory, publie « Revolution Story« , une exploration fascinante de l’évolution de la publicité à l’ère des réseaux sociaux. En s’appuyant sur ses expériences au sein de grandes agences comme Young & Rubicam et sur son parcours entrepreneurial. Michaël Illouz propose une analyse passionnante et perspicace des transformations majeures du secteur. L’ouvrage, structuré en douze chapitres, allie anecdotes personnelles et analyses professionnelles pour dresser un tableau complet des défis et des opportunités auxquels les marques sont confrontées aujourd’hui.

« Revolution Story » transporte les lecteurs dans l’univers dynamique de la publicité, des slogans emblématiques des années 80 à l’influence croissante des réseaux sociaux. L’auteur y explore divers thèmes, notamment le marketing viral, l’importance des médias sociaux et l’émergence de nouveaux modèles d’agence. Cet ouvrage se veut à la fois un guide pour les professionnels du secteur et une réflexion approfondie sur le rôle de la publicité dans la société moderne.

Dans « Revolution Story« , Michael Illouz partage ses connaissances et son expertise, enrichies par des interviews de personnalités influentes telles que Thierry Ardisson, Mercedes Erra ou encore Georges Mohammed-Chérif.

Le livre se distingue par son approche globale, combinant théorie, exemples concrets et témoignages de grands noms de la publicité et du digital. Pour ceux qui s’intéressent à l’évolution des pratiques publicitaires et à l’impact des nouvelles technologies sur le marketing, « Revolution Story » est une lecture incontournable, promettant d’inspirer et de stimuler la réflexion stratégique.

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Le match d’ouverture de l’équipe de France à l’Euro 2024 contre l’Autriche (1-0) a captivé plus de 11 millions de téléspectateurs sur TF1, d’après les chiffres de Médiamétrie. En moyenne, 11,25 millions de personnes ont suivi cette rencontre, représentant une part d’audience de 47,6%. Il s’agit de la meilleure audience télévisée en France depuis le début de l’année. À titre de comparaison, le premier match des Bleus à l’Euro 2021 contre l’Allemagne avait réuni 15,1 millions de téléspectateurs sur M6.

Parallèlement, France 2 a attiré 2,4 millions de spectateurs avec son feuilleton « Candice Lenoir ».

Le record d’audience en France demeure la finale de la Coupe du monde 2022, qui avait rassemblé 24,08 millions de téléspectateurs.

Sur beIN Sports, qui diffuse l’intégralité de l’Euro 2024, le match France-Autriche a été suivi en moyenne par 557 000 téléspectateurs, atteignant un pic de 623 000, selon les données de Médiamétrie.