En février dernier, Duolingo a créé l’événement en jouant sur l’émotion de sa communauté avec une annonce surprenante : la disparition de sa mascotte emblématique, Duo. Ce coup de communication a immédiatement suscité l’intérêt des utilisateurs, qui se sont mobilisés pour résoudre ce mystère. Finalement, la marque a révélé qu’il s’agissait d’un défi collectif, incitant les apprenants à cumuler des milliards de points pour ramener Duo à la vie, renforçant ainsi l’engagement autour de l’application.

Pour marquer le retour de sa célèbre chouette, Duolingo a imaginé une installation visuelle spectaculaire sur le parvis de la Grande Halle de la Villette à Paris. Conçue avec l’agence Brut, cette mise en scène représentait un Duo géant jaillissant d’un geyser vert, symbolisant son retour triomphal.

Plus qu’une simple célébration, cette opération jouait sur l’humour et la gamification, rappelant aux utilisateurs l’importance de ne pas oublier leurs leçons.

Avec cette campagne audacieuse, Duolingo confirme son approche innovante du marketing, qui allie storytelling et interaction avec sa communauté. En orchestrant la disparition puis la résurrection de sa mascotte, la marque démontre une nouvelle fois sa capacité à capter l’attention et à engager ses utilisateurs, transformant un simple défi en véritable expérience collective.

Selon une étude menée par Ipsos, 64% des cadres supérieurs utilisent l’intelligence artificielle générative, soulignant ainsi son rôle croissant dans le monde professionnel. D’abord adoptée par les jeunes générations, cette technologie s’impose désormais comme un levier d’optimisation pour les décideurs et dirigeants. Son utilisation traduit une évolution des pratiques de travail, où l’automatisation et l’IA apportent des solutions efficaces pour gagner en productivité et en précision.

L’enquête révèle que les Français recourent principalement à l’IA générative pour rechercher des informations (48%), rédiger ou corriger des textes (38%) et traduire du contenu (36%). Pour les cadres, ces fonctionnalités sont particulièrement utiles afin de simplifier la gestion des documents, structurer des idées ou encore déléguer certaines tâches répétitives. L’IA permet ainsi d’optimiser le temps de travail et de se concentrer sur des missions plus stratégiques, renforçant ainsi son adoption dans le monde de l’entreprise.

Au-delà des usages purement pratiques, l’intelligence artificielle générative s’impose aussi comme un outil de créativité. Que ce soit pour générer de nouvelles idées (35%), créer des visuels (29%) ou explorer des concepts innovants, elle ouvre de nouvelles perspectives aux professionnels.

Son essor parmi les cadres montre qu’elle ne se limite plus aux usages personnels ou académiques, mais devient un véritable moteur de transformation dans le milieu professionnel.

D’après les chiffres publiés par l’ACPM pour janvier 2025, le podcast « Les actus du jour – HugoDécrypte » s’impose comme le plus écouté avec 1,4 million de téléchargements. Il devance « La dernière » de Radio Nova (1,3 million) et « Transfert » de Slate (1,2 million), confirmant ainsi l’appétit grandissant des auditeurs pour des formats d’information synthétiques et accessibles.

Cette performance témoigne du succès du modèle porté par HugoDécrypte, qui mise sur une approche pédagogique et dynamique de l’actualité, notamment auprès des jeunes. La montée en puissance des podcasts d’information souligne aussi une évolution des habitudes d’écoute, avec un public de plus en plus friand de contenus à la demande et adaptés à un mode de vie mobile

Au-delà des podcasts d’actualité, le classement de l’ACPM révèle une diversité de formats plébiscités par les auditeurs, entre récits immersifs, témoignages et débats. Cette tendance confirme l’essor du podcast en France comme un média à part entière, capable de capter l’attention d’un public varié et toujours plus exigeant.

Une récente étude menée par la CNIL révèle qu’il faut en moyenne 20 heures pour récupérer ses données personnelles auprès des réseaux sociaux. Un délai bien supérieur aux attentes des utilisateurs, qui souhaitent plus de transparence et une procédure simplifiée. Certaines plateformes comme Facebook, Instagram, TikTok ou Snapchat imposent des démarches complexes, rendant l’accès aux informations encore plus fastidieux.

L’enquête met aussi en évidence des disparités importantes entre les services. Tandis que certaines plateformes multiplient les vérifications, d’autres allongent les délais sans explication claire. Pourtant, le RGPD garantit un droit d’accès aux données, mais son application reste inégale, soulevant des questions sur l’engagement réel des entreprises à respecter cette obligation.

Face à ces difficultés, l’autorité de protection des données appelle les plateformes à améliorer leurs processus et à réduire les délais d’attente. Une démarche essentielle pour renforcer la confiance des utilisateurs et garantir un meilleur contrôle de leurs informations personnelles, dans un contexte où la protection de la vie privée est plus que jamais une priorité.

Plutôt que de recourir aux méthodes classiques, cette initiative mise sur l’interaction et l’engagement pour mettre en avant les opportunités professionnelles au sein de l’entreprise. En intégrant ses offres d’emploi directement dans des jeux comme The Sandbox, Renault établit un lien direct avec les joueurs, ciblant ainsi des profils familiarisés avec l’innovation et les nouvelles technologies.

Cette approche s’inscrit dans une dynamique d’adaptation aux mutations du secteur, notamment en lien avec les défis du véhicule électrique et des nouvelles mobilités. Avec cette campagne audacieuse, Renault confirme sa volonté d’innover et de moderniser son image employeur en s’appuyant sur des outils digitaux immersifs. En intégrant le recrutement dans des univers virtuels, la marque démontre sa capacité à capter l’attention d’une nouvelle génération en quête d’expériences professionnelles en phase avec leurs centres d’intérêt et leurs habitudes numériques.

Dans une démarche d’enrichissement de l’expérience passager, un nouveau partenariat voit le jour entre Air France et la plateforme ETX Majelan. Désormais, les voyageurs auront accès à une sélection exclusive de podcasts et séries audio dédiés à la culture, l’histoire et l’exploration. Cette initiative vise à transformer chaque vol en une véritable immersion sonore, offrant un moment d’évasion et de découverte.

Face à l’essor du contenu audio, les compagnies cherchent à diversifier leur offre de divertissement à bord. En intégrant des productions de qualité, cette nouvelle collaboration permet d’apporter une valeur ajoutée au voyage, allant au-delà du simple déplacement. Une manière subtile d’accompagner les passagers tout au long de leur trajet, en leur proposant une expérience plus personnalisée et engageante.

Ce partenariat illustre une volonté d’associer raffinement et innovation pour sublimer le temps passé en cabine. En proposant des contenus immersifs et inspirants, cette initiative renforce le lien émotionnel avec les voyageurs et inscrit l’audio comme un nouveau levier d’engagement et de différenciation dans le secteur du transport aérien.

L’Allemagne s’impose comme le premier marché du cinéma français, avec 4,1 millions d’entrées, suivie de près par la Russie (3,7 millions), où l’absence de films américains a favorisé l’essor des productions françaises. Le Mexique occupe la troisième place avec 2,6 millions d’entrées. Parmi les plus grands succès, « Le Comte de Monte-Cristo » avec Pierre Niney a conquis 3,3 millions de spectateurs dans 54 pays, tandis que « Anatomie d’une chute », Palme d’or 2023, a enregistré 3,2 millions d’entrées à l’international.

En parallèle, les productions françaises continuent de s’imposer sur les plateformes de streaming, représentant 3,8 % des nouvelles sorties étrangères sur les services de SVOD internationaux, plaçant la France au cinquième rang des nationalités les plus représentées. À la télévision, 7,3 % des premières diffusions d’œuvres étrangères sont françaises, faisant du cinéma français la troisième nationalité la plus diffusée au monde. Ces performances confirment la résilience et l’adaptabilité du cinéma français face aux mutations du marché mondial.