Extime JCDecaux Airport et Uber Advertising s’associent pour offrir aux marques une nouvelle manière de toucher les voyageurs entre leur domicile et les aéroports parisiens. En combinant la puissance du digital mobile d’Uber et les écrans DOOH d’Extime JCDecaux Airport, cette collaboration vise à créer une expérience publicitaire fluide et cohérente, de la réservation du trajet jusqu’au terminal de Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly.

Grâce à ce partenariat, les annonceurs peuvent désormais engager la conversation avec une audience captive à forte valeur ajoutée, en amont et en aval du voyage. Les publicités sont diffusées directement dans l’application Uber durant le trajet, avec une durée d’exposition moyenne de 90 secondes et une exclusivité de part de voix.

Une fois dans l’aéroport, les passagers bénéficient d’un environnement média digital premium, avec une visibilité prolongée de trois heures en moyenne sur les écrans JCDecaux, renforçant ainsi l’impact des campagnes. Avec une audience estimée à 107 millions de passagers en 2025, dont près de 45 millions de CSP+ et 50 % de moins de 35 ans, cette alliance s’adresse à une clientèle internationale, jeune et premium. L’offre inclut également une étude Brand Lift, permettant de mesurer l’efficacité des campagnes sur l’ensemble du parcours, avec un double objectif : capter l’attention dans les moments clés et favoriser le drive-to-store.

Déployé en exclusivité sur les médias gaming de Webedia à l’international, ce format immersif a déjà été testé avec succès. Il offre une expérience fluide et engageante, qui transforme le temps d’exposition publicitaire en moment de découverte active. Les studios de jeux et les marques bénéficient ainsi d’un levier efficace pour promouvoir leurs nouveautés et générer des conversions directes.

Le dispositif repose aussi sur une mécanique d’influence puissante : en lien avec la technologie Playruo, les streamers partenaires peuvent glisser des liens de démo dans le chat de leurs lives sponsorisés. Les spectateurs peuvent alors tester le jeu en un clic, directement depuis le flux, créant un pont immédiat entre recommandation, curiosité et expérience utilisateur. Une approche qui mêle performance, viralité et simplicité d’accès.

Dans ce contexte, FranceTV Publicité, en collaboration avec CSA Data Consulting, a mené une vaste étude croisant ROI et ROE, sur plus de 180 campagnes diffusées entre 2021 et 2024. Résultat : l’efficacité des plans médias en TV linéaire s’en trouve renforcée, avec un rendement moyen de 8,5 euros pour 1 euro investi en combinant ROI et ROE, contre 5,7 euros pour le seul ROI. La régie met en avant ses tranches horaires stratégiques comme le day et l’access, ainsi que sa capacité à générer un impact supérieur à celui de ses concurrentes, +27 %.

Enfin, une étude Kantar Worldpanel vient compléter ce dispositif en analysant les conditions d’émergence et de performance des campagnes sur les écrans. Elle met en lumière trois leviers décisifs : l’optimisation des emplacements, la maîtrise de l’encombrement publicitaire, et l’engagement éditorial mesuré via l’indicateur QRP développé par FranceTV Publicité. Cette approche, combinée à une hausse ciblée de la part des GRP, permettrait selon Kantar d’accroître le chiffre d’affaires incrémental des campagnes de +22 %. Autant d’indicateurs qui confirment la pertinence du modèle défendu par la régie dans un environnement média en pleine reconfiguration.

Cityz Media dévoile Bonjour Cityz, une nouvelle plateforme éditoriale citoyenne qui transforme l’affichage urbain en média de proximité. Pensé comme un lien direct avec le quotidien des Français, ce dispositif met en valeur des contenus positifs, utiles et locaux, scénarisés pour le DOOH/OOH et diffusés dans l’espace public. Chroniques, micro-récits, pastilles ou encore animations prennent place chaque semaine autour des temps forts culturels, sociaux ou citoyens, pour éveiller l’attention et renforcer le lien social.
 
Avec plus de 1 000 contenus produits d’ici fin 2025, Bonjour Cityz incarne pleinement la signature « Proche de vous » de Cityz Media. Au-delà de l’ambition éditoriale, le dispositif bénéficie aussi aux marques : selon une étude Iligo, il augmente de +13 % la mémorisation publicitaire des campagnes diffusées juste avant ou après.

Les annonceurs peuvent aussi s’y associer à travers des formats de brand content contextualisés, diffusés dans l’espace public et sur les réseaux sociaux.

Ancrée dans les territoires, cette initiative s’appuie sur des partenariats solides avec Brut, Explore Media ou Beaux-Arts Magazine, et affirme une nouvelle vision de la communication extérieure : plus utile, plus responsable, et plus en phase avec les attentes des citoyens. Avec Bonjour Cityz, l’affichage devient un levier éditorial à part entière, au service des marques… et du mieux vivre ensemble.

Grâce à cet accord, les utilisateurs pourront visionner en un clic des programmes emblématiques comme Koh Lanta, Demain nous appartient ou encore The Voice, tout en profitant des fonctionnalités de personnalisation propres à Netflix. Les chaînes TF1, LCI, TMC, TFX et TF1 Séries Films seront intégrées dans l’offre actuelle sans coût supplémentaire, une manière pour les deux groupes d’élargir leur audience respective et de fluidifier les usages.

Cette collaboration s’inscrit dans une dynamique plus large déjà amorcée autour de coproductions à succès. Si les détails financiers de l’accord restent confidentiels, les enjeux sont clairs : TF1 entend renforcer sa visibilité dans un univers numérique ultra-concurrentiel, tandis que Netflix poursuit son ancrage dans la création et la distribution de contenus français.

Une avancée notable, qui pourrait bien inspirer d’autres alliances inédites entre géants du streaming et chaînes historiques.

À l’occasion des Assises nationales du centre-ville à Avignon, Cityz Media, en partenariat avec Centre-Ville en Mouvement, l’ANCT et l’institut CSA, a dévoilé la dernière édition de son baromètre sur la perception de la communication extérieure. Il en ressort que l’affichage urbain, notamment via les écrans digitaux (DOOH), est plébiscité : 63 % des Français, et 75 % des moins de 35 ans, estiment qu’il s’agit d’un média citoyen, utile pour accéder à l’information locale. Mieux encore, la communication extérieure devance la télévision, le mobile et les réseaux sociaux en termes de perception positive.

Le baromètre révèle toutefois un manque de connaissance du modèle économique : seuls 20 % des sondés savent que les mobiliers urbains d’information consacrent gratuitement 50 % de leur temps de diffusion à des messages citoyens. Et seulement un tiers a conscience que les revenus publicitaires issus de ces supports permettent de financer les équipements publics comme les abri-voyageurs ou certains services municipaux.

Un écart entre usage et compréhension, surtout notable chez les publics les plus âgés.

Au-delà de son utilité économique, les Français reconnaissent également la valeur servicielle de ces mobiliers : 66 % souhaiteraient y trouver un défibrillateur, 57 % du Wi-Fi gratuit, et 53 % des contenus géolocalisés culturels ou informatifs. Ces chiffres confirment que l’affichage urbain, loin d’être un simple vecteur publicitaire, est aujourd’hui perçu comme un outil de service public, connecté aux attentes d’une population urbaine en quête de proximité, d’engagement local et de lien concret avec son territoire.

Depuis avril, JCDecaux expérimente un dispositif original dans les 5ᵉ et 6ᵉ arrondissements de Paris. Dix-neuf mobiliers urbains (abribus, kiosques, colonnes Morris) ont été transformés en espaces végétalisés et écologiques. Placés entre le Jardin du Luxembourg et le Jardin des Plantes, ces installations accueillent plantes grimpantes, toitures vertes et nichoirs pour oiseaux, formant un corridor de verdure en plein cœur de la capitale.

Pensée comme une série de « pas japonais » naturels, cette initiative vise à favoriser la circulation de la faune en milieu urbain. En partenariat avec la Ligue pour la Protection des Oiseaux, JCDecaux assure l’entretien et le suivi écologique du dispositif pour évaluer son impact réel sur la biodiversité locale.

Un an après le lancement, les premiers résultats sont encourageants : les mésanges ont investi les nichoirs, et aucune dégradation n’a été observée. Une belle illustration de la manière dont le mobilier urbain peut devenir un levier de sensibilisation et d’action environnementale.

Le « Social Publishing » est présenté comme une opportunité pour les annonceurs de tirer parti de la crédibilité et des données des marques-médias afin de renforcer l’impact, la légitimité et la performance de leurs messages. Parallèlement, il offre aux éditeurs un moyen de monétiser leur influence sur les réseaux sociaux sans compromettre leur rigueur éditoriale.

Ce double avantage souligne l’importance croissante des collaborations entre annonceurs et éditeurs dans l’écosystème numérique actuel.

Ce guide s’inscrit dans une série d’initiatives du SRI visant à clarifier les relations entre les différents acteurs du numérique. Plus tôt ce mois-ci, le syndicat avait déjà publié un « Guide pratique des relations entre régies et acteurs de l’Adtech », démontrant ainsi son engagement à accompagner les professionnels dans la compréhension et l’adoption des nouvelles pratiques digitales.

Le groupe Le Monde poursuit sa transition numérique en annonçant un partenariat avec la start-up américaine Perplexity, spécialisée en intelligence artificielle générative. Cet accord prévoit la rémunération du quotidien pour l’utilisation de ses contenus par l’outil Perplexity, qui combine moteur de recherche et assistant conversationnel. Si l’accord est d’envergure moindre que celui signé précédemment avec OpenAI, Le Monde ne participe pas ici à l’entraînement des modèles il marque toutefois une étape importante vers une nouvelle manière de diffuser l’information, en s’insérant dans les interfaces d’IA qui façonnent désormais la recherche sur Internet.

Concrètement, les utilisateurs de Perplexity verront s’afficher des extraits et des liens vers les articles du Monde dans leurs réponses, renforçant à la fois la visibilité du journal et ses revenus, assimilés aux « droits voisins ». Une technologie développée par Perplexity sera également intégrée progressivement sur les supports numériques du Monde pour permettre aux lecteurs d’interagir directement avec ses contenus via un outil basé sur l’IA. Ce partenariat s’inscrit aussi dans la stratégie d’internationalisation du groupe, notamment à travers sa version en anglais, en ligne depuis trois ans.

Forte de ses 661 000 abonnés et d’un chiffre d’affaires en hausse (309,5 millions d’euros en 2024), la maison Le Monde affiche clairement son ambition de multiplier ce type d’alliances. Le groupe envisage d’étendre cet accord à ses autres titres comme Télérama ou Le Nouvel Obs, tout en poursuivant des discussions avec d’autres acteurs de l’intelligence artificielle. Une stratégie d’ouverture assumée face à un marché en mutation, où certains éditeurs collaborent avec les IA, quand d’autres intentent des actions en justice.

Dans ce paysage contrasté, Le Monde fait le pari d’une intégration encadrée de l’IA au service d’un journalisme visible, valorisé… et rémunéré.